La luminothérapie et la dépression post-partum

dépression post-partum : femme avec bébé

Véritable problème de santé publique, la dépression post-partum toucherait en moyenne 10 à 20% des femmes au cours des 6 premiers mois après l’accouchement. En général, le trouble se résorbe et disparaît de lui-même entre le 4e et le 6e mois. Cependant, son impact sur le tissu familial reste négatif, en l’occurrence en ce qui concerne la relation entre la mère et l’enfant et surtout le développement de l’enfant. Les enjeux sont donc beaucoup trop importants pour vous laisser envahir par une dépression post-partum sans agir. Il s’avère que la luminothérapie est l’une des meilleures solutions pour en venir à bout.

Le rapport entre la lumière et la dépression post-partum

Selon plusieurs études, le manque de lumière naturelle pendant le dernier trimestre de grossesse fait courir plus de risque de développement de dépression post-partum.

En effet, le dernier trimestre est déjà pour une femme enceinte une période quelque peu dépressive que la faible exposition à la lumière naturelle vient exacerber. L’influence de l’exposition à la lumière naturelle pendant le dernier mois de la grossesse et après l’accouchement sur la santé mentale de la femme enceinte est considérable.

Lorsque l’exposition à la lumière naturelle est plus longue au cours de cette période, le risque de faire une dépression post-partum est plutôt faible Cependant, pour les femmes qui avaient droit à des journées moins ensoleillées, le taux grimpe. Par conséquent, plus longtemps dure l’exposition et moins important est le risque de faire une dépression à l’issue de l’accouchement.

Bien entendu, cette prévalence serait exacerbée par plusieurs autres facteurs comme l’âge, le passé dépressif, les habitudes de sommeil ainsi que le statut socio-économique.  Cependant, il n’en demeure pas moins que l’exposition à la lumière naturelle impacte énormément la santé mentale des femmes enceintes.

Que faire alors lorsque le terme de la grossesse coïncide avec l’hiver, où l’ensoleillement est plus faible et où le risque de développer ce trouble est plus important ?

Miser sur la luminothérapie

« Mieux vaut prévenir que guérir » ! Dans le cas du traitement de la dépression post-partum par la luminothérapie, il s’agit d’un dicton qui s’applique complètement. Ce que peu de femmes savent à propos de ce trouble, c’est qu’il commence au cours de la grossesse, en l’occurrence au cours du dernier trimestre. C’est donc à partir de ce moment qu’il faut commencer à agir. Cependant, si le mal est déjà installé, il est toujours possible d’agir.

L’exposition à la lumière naturelle permet de produire de la vitamine D, dont l’un des rôles majeurs est de réduire totalement la production de la mélatonine, l’hormone liée au sommeil. Produite en grande quantité chez la femme enceinte, elle est responsable de la fatigue, de la somnolence, des vertiges, des maux de tête et dans une certaine mesure de la dépression.

La luminothérapie intervient comme une alternative moins risquée pour vous assurer une exposition sans danger à la lumière. La raison en est que la peau de la femme enceinte ne doit pas être protégée du soleil afin d’éviter le masque de grossesse, une forme de déshydratation qui peut entraîner l’apparition de vergetures ainsi que des problèmes de circulation sanguine.

La luminothérapie régule le cycle du sommeil et améliore la qualité du sommeil. Or, toutes les manifestations sous-jacentes de la dépression postnatale telles que la fatigue, l’irritabilité et l’anxiété sont le fait des difficultés à l’endormissement. Pour aller plus loin : lire cet article sur la luminothérapie.

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